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Assemblée Nationale : rentrée dans l'expectative pour les députés corses

Le député corse le plus en vue lors de cette élection du président de l'Assemblée Nationale était sans nul doute Laurent Marcangeli. Président du grouoe Horizons, celui-ci a soutenu et assumé une candidature de son groupe, celle de Naima Moutchou.

Une nouvelle façon de marquer une distance de plus en plus forte avec le groupe macroniste Ensemble. Les convergences avec la Droite Républicaine sont quant à elles plus possibles que jamais.

Côté corse, celui-ci se dit prêt à travailler sans réserve avec François-Xavier Ceccoli, en continuant ses relations fournies avec les deux députés nationalistes.

On écoute Laurent Marcangeli

Pour Michel Castellani, même si Jean-Félix Acquaviva n'est plus là, le travail au sein du groupe LIOT reprend de plus belle. Ce groupe a pu finalement se reconstituer autour d'une base de vingt-deux députés et aura assurément un rôle à jouer en tant que pivot.

De son côté, le premier dossier défendu, en attendant de savoir ce qu'il adviendra de l'autonomie, sera celui-ci de l'hôpital de Bastia, où les choses pourraient bouger plus vite que prévu.

On écoute Michel Castellani

C'est le petit nouveau parmi les quatre députés corses, François-Xavier Ceccoli fait partie d'un groupe des Républicains à droite qui aura lui aussi un rôle pivot à jouer.

De son côté, le député de la seconde circonscription de Haute-Corse, qui devrait siéger dans la commission développement durable, se dit ouvert au travail avec ses autres collègues corses, sans exclusive.

On écoute François-Xavier Ceccoli

Chez Paul-André Colombani, député de la seconde circonscription de Corse-du-Sud, il y a aussi une vraie volonté de continuité.

Même s'il y a un député nationaliste en moins, le groupe LIOT permettra de répartir équitablement la charge de travail. Comme Michel Castellani, le dossier de la santé est sa priorité.

On écoute Paul-André Colombani