Arrêtés Miot et fiscalité : ce qu'en pense Edmond Simeoni
(Alex Bertocchini - Alta Frequenza) - Le collectif pour la défense des arrêtés Miot a été reçu hier (mercredi) par le préfet de Corse. La délégation constituée par les associations des maires des deux départements, par les représentants des chambres d'agriculture, de commerce et de métiers, par l'Association des Elus de la Montagne, le CESC, le président de la FNAIM, Edmond Simeoni et la Ligue des Droits de l'Homme, était conduite par Alain Spadoni, président du Conseil Régional des notaires de Corse. Un entretien qui a été plutôt fructueux avec Patrick Strzoda, de l’avis général, avec un retour modéré de la confiance, mais sans plus. Pour Edmond Simeoni, qui contribue depuis des décennies à bon nombre de collectifs, ce dossier constitue un premier test pour l’Etat, pour qui ce dernier « lutte de manière permanente pour ne pas reconnaître la spécificité fiscale de la Corse » ; un premier test, dans le cadre du problème constitutionnel et institutionnel en général.