Ouverture devant la cour d'assises spéciale de Paris du procès d’Alain Ruggeri
Ouverture devant la cour d'assises spéciale de Paris du procès d’Alain Ruggeri.
(Francescu Maria Antona - Alta Frequenza) - Ouverture hier (lundi) devant la cour d'assises spéciale de Paris, du procès d’Alain Ruggeri. Cet employé du Conseil général de Haute-Corse comparait après le drame de Solaro, le 3 janvier 2007 où Ange Marie Tiberi, militant nationaliste bien connu, avait trouvé la mort dans l’explosion de la bombe qu’il transportait. Alain Ruggeri quant à lui, avait été blessé par la déflagration, mais il a toujours nié toute implication. Il a indiqué aux enquêteurs, que le soir du drame, il accompagnait son ami à la pêche. Ange-Marie Tiberi l'aurait alors laissé quelques minutes pour aller récupérer quelque chose. Et quand il serait revenu, une explosion aurait retenti. Aucune trace de poudre n'a été relevée sur les mains d’Alain Ruggeri. Et une canne à pêche a été retrouvée six mois plus tard. Alain Ruggeri comparaît libre.
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