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Ghjurnate di Corte : internationalisation de la question corse et contribution du courant indépendantiste à un vrai processus de dimension historique

Après deux ans d’absence pour cause de covid-19, e Ghjurnate di Corti sont de retour sous leur forme traditionnelle. Pour sa 40e édition, Corsica Libera veut axer les débats sur "l’internationalisation de la question nationale corse et de la contribution politique du courant indépendantiste à un véritable processus de dimension historique".

Pour cette éditions 2022, des délégations de Catalogne, du Pays Basque, d’Écosse, de Kanaky, de Polynésie, de Guyane, de Sardaigne, du Biafra, de Kabylie ou encore de la République d’Artsakh sont présentes.

Alors que des discussions s’ouvrent aujourd’hui avec Paris, Corsica Libera estime que le compte n’y est pas. Trop de préalables et de lignes rouges pour que l’on puisse parler de rendez-vous historique a dit Petr’Antò Tomasi lors de la présentation des journées.

Des journées qui permettront aussi de porter réflexion sur l’assassinat d’Yvan Colonna, la culpabilité ou la responsabilité de l’État, et la nécessaire mobilisation pour faire éclater la vérité.

On écoute Petr’Anto Tomasi