Le Direct

Football (Ligue 2) - L'AC Aiacciu a célébré sa remontée en Ligue 1, la quatrième de son histoire et peut-être aussi la plus belle

C’était l’événement du week-end. L’AC Aiacciu va retrouver la Ligue 1 au terme d’un match mémorable contre le champion Toulouse, samedi soir.

Vainqueurs 1 à 0, grâce à un pénalty obtenu par Gaétan Courtet et réalisé par Riad Nouri, les acéistes ont ensuite géré leur avantage devant une équipe toulousaine qui n’a rien lâché, mais qui n’a pas forcé non plus.

Dans une ambiance des grands soirs, les 8 500 spectateurs étaient libérés par les trois coups de sifflets finaux de l’arbitre peu avant 21h00. Après l’envahissement du terrain, un feu d’artifice était offert au public présent et les joueurs étaient congratulés dans la liesse générale.

L’ACA est donc de retour en Ligue 1, huit ans après sa descente. Une énorme satisfaction pour son emblématique entraîneur, Olivier Pantaloni, dont il s’agit de la troisième montée avec son club : une en tant qu’entraîneur adjoint en 2002 et deux en tant qu’entraîneur principal.

On l’écoute.

Alain Orsoni était présent dans les travées du stade François-Coty. Le président de la Holding ACA savourait également ces instants délicieux.

Nous l’écoutons.

Même satisfaction pour Christian Leca, le président du club. Ce dernier avait promis de ramener l’ACA en Ligue 1 dans les trois ans. Chose faite aujourd’hui.

Écoutez le président de l’ACA.

Côté terrain, la joie et l’euphorie étaient de mise samedi soir. S’il y a un joueur qui a savouré ce succès plus que les autres, c’est bien François-Joseph Sollacaro. Licencié à l’ACA depuis l’âge de 6 ans, formé au club depuis son plus jeune âge, ce dernier a porté sa pierre à l’édifice de ce succès.

Nous l’écoutons.

Pour Aiacciu, cette montée en Ligue 1 est appréciée à sa juste valeur. Pour la Ville, les retombées économiques seront bien évidemment importantes, sans compter le bénéfice en termes d’images.

Stéphane Vannucci, adjoint au maire en charge des Sports, savoure également cette montée.

Nous l’écoutons.