Femu a Corsica entre processus d'autonomie de la Corse et réflexions internes
Ce jeudi, Femu a Corsica a pris la parole. Une première prise de parole suite à la dissolution, mais aussi à la défaite de Jean-Félix Acquaviva aux législatives.
Concernant le contexte politique et de dynamique au sein même de Femu a Corsica, le parti continuera de tracer son chemin, mais prévoit d’évoluer, notamment lors d’un prochain congrès en janvier, où les instances du parti devraient être renouvelées de façon majeure. Un renouvellement qui devrait, aussi, toucher le conseil exécutif de Corse.
Pour autant, Femu a Corsica n’estime pas que la défaite de Jean-Félix Acquaviva soit due à un excès de confiance du mouvement, mais plutôt à un contexte électoral particulier et à un manque de communication de sa part sur les avancées obtenues par neuf ans de pouvoir.
On écoute François Martinetti.
Sur le processus, Femu a Corsica essaie de ne pas se retourner sur les craintes que l’instabilité politique peut amener, mais plutôt sur l’urgence d’un changement de paradigme à travers ce processus.
Pour le mouvement, autonomie et vie quotidienne des corses ne sont pas incompatibles, et faire avancer l’autonomie sera faire avancer un meilleur traitement du quotidien des corses.
Femu a Corsica espère, même si les relations avec François-Xavier Ceccoli et Jean-Jacques Panunzi ne sont pas des plus fluides, unir les parlementaires corses autour d’un message clair.
On écoute Livia Ceccaldi-Volpei