Jean Zuccarelli qualifie de catastrophique le bilan de dix ans de gestion nationaliste de Bastia
Cela fait désormais un peu plus de dix ans que la coalition entre nationalistes, et membres des familles de gauche et de droite est aux commandes de la destinée de la ville de Bastia.
Dix ans d’un bilan catastrophique aux yeux de Jean Zuccarelli et du micro-groupe radical au sein d’un groupe d’opposition Unione per Bastia moribond. La droite, représentée par Jean-Martin Mondoloni et Livia Graziani-Sanciu, est peu présente, tandis qu’après la démission de Jean-Sébastien de Casalta et le départ sur le continent pour raisons professionnelles de François Tatti, la troisième composante est désormais aux abonnés absents.
C’est donc seul avec ses fidèles que sont Hélène Salge et Jean-François Paoli que Jean Zuccarelli a dépeint un bilan faible en réalisations et avec des dépenses toujours plus débridées concernant le fonctionnement. Jean Zuccarelli a ainsi dénoncé les nombreuses embauches illustrant selon lui le clientélisme de Gilles Simeoni, puis de Pierre Savelli.
Stationnement, grands chantiers, statu-quo sur la question du port, déclassement de Bastia sont autant de dossiers sur lesquels la majorité municipale n’a pas été au rendez-vous selon lui.
L’occasion de demander à Jean Zuccarelli quelle sera la formule sous laquelle il prendra le départ des municipales de 2026.
On écoute Jean Zuccarelli.